Liebe Mitglieder
Wir freuen uns, Ihnen den neuen Podcast Jura – dein Jus-Podcast vorstellen zu können. Produzentin ist unser Mitglied Sarah Leiendecker. Sie bespricht in ihrem Podcast aktuelle Bundesgerichtsentscheide und führt zum Ende ein spannendes Interview mit einer Expertin. Die erste Folge können Sie hier hören: https://open.spotify.com/show/6OiUXB5E7xlSs0xOcFvLE6
Stellen Sie sich mit Ihrem Fachwissen für den Expertinnen-Pool zur Verfügung! Sarah Leiendecker freut sich über Ihre Kontaktaufnahme.
Jubiläumslektüre
Die ehemalige Nationalrätin Thérèse Meyer-Kaelin kommt aus einer Politdynastie von Frauen. Ihre politische Karriere begann 1980. Mit ihr gesprochen hat unser Mitglied Isabelle Sob. Im Interview hat sich Thérèse Meyer-Kaelin bereit erklärt, auf ihre Karriere zurückzublicken und über die Vertretung von Frauen in der Politik zu sprechen. Ihre Begeisterung und Entschlossenheit beeindrucken!
Alle bisher veröffentlichten Artikel finden Sie auf unserer Seite zum Frauenstimmrechtsjubiläum.
Facts & Figures
In über 500 Regionaltreffen konnten sich unsere Mitglieder in den letzten 20 Jahren vernetzen und austauschen. Dieses Jahr werden wir die Treffen auf weitere Regionen ausweiten. So sollen neu auch in der Zentral- und Ostschweiz oder in Genf Treffen stattfinden.
Ich wünsche Ihnen eine gute Lektüre.
Regula Kolar, Geschäftsführerin
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20 Jahre –– Facts & Figures

In über 500 Regionaltreffen konnten sich unsere Mitglieder in den 20 Jahren vernetzen und austauschen.
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Aus dem Vorstand
Hier informieren wir über laufende Tätigkeiten, Projekte und Arbeitsgruppen.
Arbeitsgruppen
- Organisationsentwicklung
- Nachfolgeplanung
- Mehr qualifizierte Teilzeitstellen für Juristinnen mit familiären Betreuungsaufgaben
- 20-Jahr Jubiläum Juristinnen Schweiz
- Buchprojekt mit dem Dike Verlag
- Finanzen
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Jubiläumslektüre
Interview de Thérèse Meyer-Kaelin : retour sur sa carrière de femme politique
von Isabelle Sob

Portrait
Thérèse Meyer-Kaelin est née le 17 mai 1948 dans le district de la Veveyse dans le canton de Fribourg et a passé son enfance à Bulle. Élue dès 1980 au Conseil général d’Estavayer-le-Lac, elle devient membre du Conseil communal en 1982 et syndique à partir de 1991. En 1996, elle est élue députée et siège au Grand Conseil fribourgeois avant de faire son entrée au Conseil national le 20 avril 1999. En 2005, elle devient la « Première citoyenne du pays » en présidant le Conseil national.
Sa mère, Augusta Kaelin, surnommée « Tuti », a milité activement pour le droit de vote des femmes dans le canton de Fribourg dès les années 50 et a été élue au législatif de sa commune après l’introduction du suffrage féminin. Quant à sa fille, Anne Meyer Loetscher, elle est également active en politique et élue au Grand Conseil à Fribourg. Une vraie dynastie politique féminine donc !
Dans cette interview, elle a accepté de revenir sur sa carrière et de discuter de la représentation féminine en politique. Son enthousiasme et sa détermination nous ont impressionnés ! Revenons avec elle sur sa carrière politique.
Questions
1. À quel moment avez-vous décidé de vous engager en politique et pour quelle(s) raison(s) ?
J’ai fait mes études à Genève et je votais car j’y avais élu domicile la dernière année de mes études de laborantine médicale et scientifique. J’avais pris goût à la participation à la vie politique bien avant que le suffrage féminin ne soit introduit à Fribourg et en Suisse.
Je me suis établie avec ma famille à Estavayer-le-Lac en 1976 après avoir beaucoup déménagé pour des raisons familiales. À côté de mon activité professionnelle et des tâches éducatives (deux enfants en bas âge), j’ai rejoint plusieurs associations pour améliorer le quotidien des familles, ce qui me tenait à cœur. Lors des élections communales, je venais d’arriver à Estavayer-le-Lac, mais j’ai accepté la sollicitation d’un parti politique dans lequel mes parents avaient été actifs. J’ai reconsidéré la ligne des différents partis avant d’accepter, en fait, c’était le parti qui me correspondait le mieux. À la surprise générale, je suis arrivée première des « viennent ensuite ». Je suis entrée au législatif de la Ville en milieu de législature alors que j’étais enceinte de mon troisième enfant et après une démission.
Le premier jour où j’ai siégé, je suis intervenue en faveur du maintien d’une structure d’accueil dont la fermeture était discutée dans la presse depuis plusieurs semaines. Je m’étais bien renseignée et avais préparé un petit texte que j’ai lu. Ce sont mes débuts en politique.
2. À l’âge de 34 ans, vous êtes élue au Conseil communal (exécutif) d’Estavayer-le-Lac. Avez-vous ressenti des préjugés ?
Lorsque mon parti politique m’a demandé d’être candidate à cette élection, j’ai longuement hésité avant d’accepter car j’avais une vie très remplie (3 enfants et un engagement professionnel auprès de mon mari chirurgien) et je pensais ne pas avoir les disponibilités de bien faire les choses, ce qui est assez caractéristique des femmes je pense. Finalement, ce qui m’a convaincue c’est de n’avoir aucune chance d’être élue (pas par manque de compétences, mais en raison des circonstances), alors je me suis lancée et puis « boum, j’ai été élue ». Je me suis organisée pour concilier cette nouvelle responsabilité avec ma vie familiale et professionnelle, ce qui n’a pas été de tout repos au début. J’étais la seule femme élue à ce poste et la première de la commune.
Après l’élection, nous nous sommes réunis pour la nomination du syndic et la répartition des dicastères. Le syndic (le mieux élu) a pris la Présidence du collège. J’étais la troisième mieux élue donc j’ai pris la parole en troisième position. J’ai dit que je prendrais volontiers les affaires sociales et la santé en raison de mes activités et centres d’intérêt personnel. Un collègue sortant, moins bien élu, voulait conserver ce dicastère mais le lendemain, après un vote, la majorité des collègues me l’a attribué. Vexé, le collègue en question est allé se plaindre auprès de l’une de ses connaissances journaliste qui a écrit un article en me décrivant comme « une harpie » qui lui avait volé sa charge. J’ai croisé ce journaliste le jour de la parution et il ne m’a pas reconnu. Nous avons discuté, j’étais sereine et il s’est excusé.
J’ai beaucoup aimé ma fonction car je voyais des manques et je pouvais proposer des solutions inspirées par ma proximité avec les habitant·e·s de la Ville et par mon quotidien de mère et de collaboratrice médicale. J’avais une force de proposition très importante et mes collègues me disaient « tu vas trop vite ». Je sentais qu’on voulait me freiner. Parmi mes succès, je suis particulièrement heureuse de la nouvelle organisation que j’ai mise en place pour les Schubertiades qui ont fait plus de CHF 100'000.- de recettes, ce qui a permis de pérenniser l’évènement. J’étais également très fière de la crèche réorganisée, selon mes idées, dont la fréquentation était très importante.
3. Quelles ont été les plus grandes difficultés que vous avez rencontrées dans votre carrière politique ? Pensez-vous qu’elles soient liées à votre genre ?
En fait, rétrospectivement, je dois dire que je pense avoir été plutôt favorisée du fait d’être une femme dans mon parcours politique. Il est possible qu’il y ait eu des jalousies comme ce collègue qui disait que le dicastère m’avait été attribué parce que j’étais une femme, mais finalement, comme l’activité de conseillère communale était mon activité principale, contrairement aux autres collègues qui exerçaient une activité professionnelle à plein temps, j’avançais vite et bien sur mes dossiers à satisfaction des gens et des autres collègues ce que les élections ultérieures ont confirmé (par la suite j’ai été reconduite dans mes fonctions et mes collègues m’ont élue syndique, soit Présidente de ma commune).
Après mon élection à la syndicature, j’ai été confrontée pour la première fois à la difficulté de conduire une équipe avec des personnes issues de différents partis politiques et avec des caractères et des objectifs différents. Il fallait faire en sorte qu’il y ait une bonne ambiance, réaliser des choses positives pour la population tout en respectant le cadre financier. J’ai pris le parti de rester à l’écoute et de me faire une conviction profonde, ce qui m’a grandement servie dans cette fonction exposée dans laquelle j’ai toujours respecté la collégialité et le secret de fonction.
En entrant au Conseil national en 1999, j’étais toujours syndique et j’avais également été élue députée au Grand Conseil fribourgeois entre temps. J’avais un objectif principal : faire aboutir l’assurance maternité. J’ai beaucoup œuvré dans ce sens en faisant de nombreuses propositions sur la durée et le mode de financement qui ont été reprises, mais mon nom a été supprimé, et ceci par deux fois, des objets soumis à l’Assemblée fédérale. La 1ère fois, la commission a voté ma proposition et s’est substituée à moi et la seconde, pour avoir plus de poids, nous avons déposé l’initiative parlementaire à quatre député·e·s et dans ce cas, seul le premier nom apparaît. C’est un peu dur, surtout lorsque l’on a investi beaucoup de temps et d’énergie au service d’une cause, mais ma plus grande satisfaction est que l’assurance ait finalement abouti !
4. Pensez-vous que dans certaines circonstances le fait d’être une femme vous a facilité la tâche et en quoi ?
Oui, comme je l’ai expliqué précédemment je dirais même que ce fut le cas la plupart du temps. Parfois cela a aussi été source de tensions comme en 1999 lorsque le groupement des femmes PDC qui était très actif m’avait sollicitée afin que je fasse campagne sur leur liste 100% féminine. Je n’ai pas accepté car j’avais été élue sur la liste régionale et la Broye qui n’avait pas eu d’élu depuis 50 ans. C’était clair, je devais rester sur liste de la région (et donc mixte).
Cette décision n’a pas été facile à prendre et a créé des remous. Elle relevait aussi de la stratégie politique et a conduit à ma réélection au Conseil national, ce qui m’a permis de continuer une tâche que j’aimais : aucun regret donc.
5. Votre carrière politique en tant qu’élue a duré plus de 30 ans. Avez-vous constaté une évolution au niveau des thèmes et des priorités politiques depuis que vous avez commencé à vous engager ? Pensez-vous que le fait que les femmes soient actives en politique y soit pour quelque chose ?
Les femmes peuvent s’intéresser à tous les sujets. Nous sommes différentes ; chacune avec une famille, une formation, un job, une passion spécifiques. Tout ceci influence et oriente nos centres d’intérêt. Le regard féminin et les solutions seront par contre différents. De plus, sur des sujets qui nous touchent directement, en particulier les questions liées à la maternité, à la violence faite aux femmes etc., l’action des femmes est déterminante et absolument nécessaire.
6. Depuis les dernières élections du 7 mars 2021, il y a des parlements communaux qui sont majoritairement féminins, dont celui de la Ville de Fribourg notamment. Que pensez-vous du chemin parcouru ?
Il y a des hommes et des femmes qui travaillent de la même manière, mais je trouve que les femmes approfondissent plus. Elles travaillent plus leurs dossiers et il y a une emprise plus large dans la société sur tout ce que l’on gère.
Je ne fais pas de calcul de genre. Je trouve que si les élu·e·s sont majoritairement de sexe féminin cela montre qu’elles sont là, compétentes, qu’on les veut et qu’il y a une confiance, un vivier de candidates et donc d’intéressées, ce que je salue et qui me réjouis !
7. Quel serait votre conseil pour celles qui nous lisent et hésitent à se lancer ?
Croire en soi. La carrière politique est un renforcement personnel. Et puis surtout travailler. On ne peut pas tout bosser mais il faut se fixer des priorités et retrousser ses manches.
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Daten nächste Netzwerktreffen
Netzwerktreffen finden wegen der Corona-Pandemie forerst nicht oder z.T. virtuell statt.
Weitere Informationen finden Sie auf unserer Webseite.
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Wissenswertes
Wie leben Familien in der Schweiz von heute? - Statistischer Bericht 2021
Neuchâtel, 11.05.2021 - Haushalte mit Kindern unter 25 Jahren machen in der Schweiz knapp ein Drittel der Privathaushalte aus. Die grosse Mehrheit der Kinder lebt mit beiden Eltern zusammen. 13% leben in Einelternhaushalten und 6% in Patchworkfamilien. Obwohl Sozialtransfers die Armutsquote erheblich senken, befinden sich viele Einelternhaushalte in einer schwierigen Situation. Sie sind häufiger armutsgefährdet, auf Sozialhilfe angewiesen und mit ihrem Leben im Allgemeinen weniger zufrieden. Dies sind ausgewählte Ergebnisse aus dem statistischen Familienbericht 2021 des Bundesamtes für Statistik (BFS). mehr
Studie zum Thema Vereinbarkeit von Arbeit und Familie – Teilnehmer:innen gesucht
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Care-Ökonomie aus feministischer Perspektive
Economiefeministe: Im Interview mit Roxane Steiger erklären Anja Peter und Mirjam Aggeler in der Zeitschrift P.S., welche Bedeutung Care-Arbeit für unsere Wirtschaft und Gesellschaft hat und was feministisch-ökonomische Theorien mit der Anerkennung von Care-Arbeit zu tun haben. Sie gehen dabei unter anderem folgenden Fragen auf den Grund: Was sind die Herausforderungen? Was hat sich seit den 70er Jahren konkret für Care-Arbeitende getan? Und wie liesse sich die aktuelle Gleichstellungsdebatte, die sich bislang mehrheitlich um den Eintritt von Frauen in männerdominierte Arbeitsfelder dreht, stärker auf die Anerkennung von Care-Arbeit fokussieren? mehr
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Neuchâtel, 20.05.2021 - Die zeitliche Gesamtbelastung für bezahlte und unbezahlte Arbeit betrug im Jahr 2020 sowohl bei Frauen als auch bei Männern ab 15 Jahren rund 46 Stunden pro Woche. Frauen wendeten durchwegs mehr Zeit für Haus- und Familienarbeit auf (28,7 Std. pro Woche gegenüber 19,1 Std.). Umgekehrt setzten Männer im Durchschnitt mehr Zeit für bezahlte Erwerbsarbeit ein (25,3 Std. pro Woche gegenüber 15,8 Std.). Seit 2010 nimmt der Zeitaufwand der Männer für Haus- und Familienarbeit jedoch stetig zu und ihre Erwerbsarbeitszeit nimmt ab. Dies sind einige Ergebnisse der Schweizerischen Arbeitskräfteerhebung des Bundesamtes für Statistik (BFS). mehr
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In der Schweiz gilt der Justizvollzug gemäss Bundesverfassung als staatliche Aufgabe und ist grundsätzlich in öffentlicher Hand. Das Strafgesetzbuch und kantonale Bestimmungen sehen jedoch auch Ausnahmen vor. Die neue Studie des SKMR liefert eine rechtliche Bestandsaufnahme zur Situation in der Schweiz und analysiert, in welchen Fällen und unter welchen Bedingungen die Privatisierung im Justizvollzug zulässig ist. mehr
LGBT Gesundheitsumfrage
In der Schweiz fehlen aussagekräftige Daten zur Gesundheit von lesbischen, schwulen, bisexuellen und trans Menschen und deren Zugang zur Gesundheitsversorgung. Die @Hochschule Luzern führt deshalb im Auftrag des Bundesamtes für Gesundheit @BAG OFSP UFSP die schweizweit erste umfassende LGBT-Gesundheitsbefragung durch. Die Resultate sollen dazu dienen, gesundheitliche Chancengleichheit zu schaffen sowie zentrale Bedürfnisse und mögliche Lücken zu identifizieren.
Bist du lesbisch, schwul, bisexuell oder trans? Bitte nimm an der Befragung teil! Auch Menschen mit anderen Identitäten (queer, non-binär) sind eingeladen. mehr
Wie die Menschenrechte die Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung stärken
Als die Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung von der UNO Generalversammlung verabschiedet wurde, fanden sich Menschenrechtsorganisationen in einem Dilemma gegenüber diesem globalen Referenzrahmen, der den Weg in eine nachhaltige Zukunft weisen sollte. Die Agenda 2030 schuf keinen rechtlich verbindlichen Rahmen, sondern stellt eine freiwillige Selbstverpflichtung der Staaten dar. Auf welches Pferd wollte man setzen: Auf eine Agenda 2030 mit gemeinsamer Vision, ambitionierten Zielen und systemischen Antworten? Oder auf die etablierten, rechtlich verbindlichen Menschenrechtsabkommen?
Unser «Kurz gefasst: Agenda 2030 & Menschenrechte» geht diesen Fragen nach und zeigt auf, wie stark die Agenda 2030 auf den Menschenrechten beruht. Und wie wir die etablierten Menschenrechts-Verfahren nutzen können, um nachhaltige Entwicklung zu stärken. mehr
Bericht zu Menschenhandel: Das SEM setzt die Empfehlungen um
Bern-Wabern, 25.05.2021 - Das Staatssekretariat für Migration (SEM) hat am 25. Mai 2021 die Ergebnisse der Arbeitsgruppe «Asyl und Menschenhandel» veröffentlicht. Der Schlussbericht enthält Empfehlungen, um potenzielle Opfer von Menschenhandel besser zu erkennen und deren Rechte im Asylverfahren zu gewährleisten. Das SEM ist weiter bestrebt, die Opfer frühzeitig zu identifizieren und den Informationsfluss zu verbessern. mehr
3-teilige Doku "Starke Frauen"
Die drei folgen widmen sich dem Thema Macht (mit Sommaruga und der deutschen Verteidigungsministerin Kramp-Karrenbauer; Medien (mit Jolanda Spiess-Hegglin); Pornographie (mit Erika Lust); Regie Rosanna Grüter, Moderation Patrizia Laeri. Ab 2. Juni, 20:15 auf 3Sat.
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Bern, 26.05.2021 - Der Bundesrat befürwortet die Erhöhung des maximalen Abzugs für die familienexterne Kinderbetreuung von 10'100 auf 25'000 Franken bei der direkten Bundessteuer. Dies beschloss er an seiner Sitzung vom 26. Mai 2021. mehr
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Veranstaltungen und Kurse
10./11. Juni, online: Feministische Sommeruni Bern 2021
Im Rahmen des 30-jährigen Jubiläums der Abteilung für Gleichstellung der Universität Bern findet vom 10./11. Juni 2021 eine online Sommeruni zum Thema «Feminismus» statt. Dieser Anlass will den Transfer von feministischer Theorie und Praxis in beide Richtungen aufzeigen und fördern. Alle Workshops sind kostenlos und öffentlich (mit Anmeldung). mehr
23. Juni, Bern: Grundrechtstagung «Strategische Prozessführung»
Strategische Prozessführung zum Schutz der Menschenrechte hat sich in den vergangenen Jahren weltweit zu einem spezialisierten Tätigkeitsgebiet entwickelt, an dem eine Vielzahl unterschiedlicher Akteure beteiligt ist. Die Grundrechtstagung 2021 greift diese Entwicklung auf und diskutiert erste Ansätze mit dem Instrument der strategischen Prozessführung in der Schweiz.
Die Tagung richtet sich an Personen, die in der Menschenrechtspraxis tätig sind: Jurist*innen und Anwält*innen, Mitglieder von Behörden (Polizei, Ämter, Beratungsstellen), Richter*innen, Parlamentarier*innen sowie Unternehmen, die in menschenrechtssensiblen Bereichen tätig sind. Zudem sind Professor*innen, Doktorand*innen und Studierende mit einem Interessenschwerpunkt im Bereich des Menschenrechtsschutzes angesprochen. mehr
5 - 9 July 2021, online: Trade and Gender Summer Course
Over the last years, gender equality and women empowerment has been grappled with domestic and international trade in different frameworks. The course explores the potential of the trade-gender nexus in accelerating the path to gender equality and to influence gendered structures that embrace the distributions of economic resources.
Excellent lecturers and experts of the teaching team include Prof. Barnali Choudhury (UCL), Dr. Anoush der Boghossian (WTO), Prof. Sara De Vido (UNIVE) and Prof. Paola Profeta (Bocconi University). more
July, 9th 2021, 6pm: Webinar series on violence against women
Women’s Health, Sexual and Reproductive Rights, and Abortion. more
7./14./21. Sept. 2021: Geldgrundlagen-Kurs mit SmartPurse
Frauenzentrale ZH: Bist du so sehr damit beschäftigt, das Leben zu jonglieren, so dass du nie die Zeit findest, dich um deine Finanzen zu kümmern? Hast du das Gefühl, nicht genug über Finanzen zu wissen? Du willst dein Geld anlegen oder die Zeit nutzen, um deine Vorsorge gezielt anzugehen? Dann ist dieser Grundlagen-Kurs genau das Richtige. Kosten: CHF 159 für Mitglieder, CHF 189 für Interessentinnen, CHF 229 Kombi Grundlagen-Kurs und Mitgliedschaft. mehr
STD: 30. September, ab 16h: 25 Jahre Gleichstellungsgesetz -- Wo stehen wir?
In diesem Jahr feiern wir in der Schweiz 25 Gleichstellungsgesetz (GlG). Dies ist ein wichtiger Meilenstein in der Frauenrechtsbewegung in der Schweiz, zumindest in rechtlicher Hinsicht. Aber wie sieht es in der Realität aus? Die Bundesverfassung schreibt einerseits vor, dass «das Gesetz die Gleichstellung in rechtlicher und tatsächlicher Hinsicht vorsieht» und stellt andererseits sicher, dass Frauen und Männer «Anspruch auf gleichen Lohn für gleichwertige Arbeit haben». Ist das 2021 die Realität?
Die NGO-Koordination post Beijing Schweiz, Juristinnen Schweiz und das FRI-Institut für Feministische Rechtswissenschaften und Gender Law laden Sie zu einem Nachmittag der Reflexion und des Austauschs ein, um die konkrete Wirksamkeit des GlG und die Situation der aktiven und pensionierten Arbeitnehmerinnen zu hinterfragen.
Welche Folgen haben die politischen Entscheidungen für die Gleichstellung, insbesondere in der Arbeitswelt? Mit welchen Schwierigkeiten sind schwangere Arbeitnehmerinnen und junge Mütter konfrontiert? Was bedeutet es, seine Rechte vor einer Schweizer Justizbehörde einzufordern? Was ist die Herausforderung der Armut von Frauen, insbesondere von Frauen im Ruhestand?
Der Nachmittag wird mit einer Keynote mit Blick auf das GlG aus gesellschaftspolitischer Perspektive eröffnet. Der zweite Teil des Nachmittags ist thematischen Workshops gewidmet, in denen sich die Teilnehmer*innen austauschen und gemeinsam reflektieren können. Um das 25-jährige Bestehen des GlG würdig zu feiern, wird der Nachmittag mit einem Dinner-Aperitif abgeschlossen. Im Anschluss daran findet ein Podiumsgespräch mit Referentinnen der Wokshops statt.
25. Oktober – 20. Dezember, Bundeshaus Bern: Ausstellung *Frauen im Bundeshaus*
Ausstellung zum Jubilläum 50 Jahre Frauenstimmrecht und anlässlich der Frauensession im Parlament. mehr
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Jobs
Stv. Geschäftsführer:in
Die Geschäftsstelle von Transparency Schweiz in Bern wird per 1. November 2021 (oder nach Vereinbarung) die Stelle der stellvertretenden Geschäftsführerin bzw. des stellvertretenden Geschäftsführers neu besetzen (Pensum 80%). mehr
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Vernehmlassungen
Wir suchen Verfasserin(nen) für eine Stellungnahme:
Vernehmlassungseröffnung: Departement für Wirtschaft, Bildung und Forschung
Bern, 26.05.2021 - Änderung der Verordnung 2 zum Arbeitsgesetz zum Arbeitsgesetz (ArGV 2)
Mit der Revision wird ein neuer Art. 34a ArGV 2 (SR 822.112) eingeführt. Damit wird für Arbeitnehmer und Arbeitnehmerinnen, die in bestimmten Dienstleistungsbetrieben tätig sind und eine Vorgesetztenfunktion innehaben oder als Fachspezialisten und Fachspezialistinnen tätig sind, die Beschäftigung nach einem Jahresarbeitszeitmodell ermöglicht. Voraussetzung ist, dass sie ein Bruttojahreseinkommen von mehr als 120’000 Franken oder einen höheren Bildungsabschluss haben und bei ihrer Arbeit über eine grosse Autonomie verfügen und ihre Arbeitszeiten weitgehend selber definieren können.
Datum der Eröffnung: 25. Mai 2021
Vernehmlassungsfrist: 15. September 2021
Interessentinnen können sich melden unter geschaeftsstelle@lawandwomen.ch.
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